LE DÉCALOGUE DE L’ÉDUCATEUR MONTESSORI
Il est souvent difficile de jouer le rôle de guide et d’éducateur dans la pédagogie Montessori. Dans l’environnement préparé autour de l’enfant, notre attitude revêt pourtant une grande importance. C’est ce qui va en grande partie influencer ses apprentissages académiques, sociaux et psychoaffectifs mais aussi sa volonté de travailler, sa concentration et son attention. Comment parent ou comme éducateur en école, nous allons aussi lui servir de modèle au travers des relations que nous entretenons avec les autres enfants. Quels sont alors les grands principes à respecter en tant qu’éducateur Montessori ? Il faut avant tout travailler sur notre attitude personnelle pour espérer influer sur celle des enfants, puisque nous ne les contrôlons pas, ni eux ni personne. Les seules choses que nous pouvons contrôler, c’est nous-mêmes et l’environnement : ce qui nous entoure dans notre espace de travail et dans nos maisons. Nous pouvons commencer en changeant nous-mêmes pour progressivement faire évoluer nos enfants également. Pour comprendre comment y parvenir, savoir quelle posture et quel rôle l’éducateur doit adopter, Maria Montessori nous a laissé 10 commandements, le décalogue Montessori.
Avant de continuer sachez que cet article n’est qu’un résumé de mon podcast Le décalogue de l’éducateur Montessori ; si vous voulez l’écouter dans son intégralité, par exemple en faisant vos tâches ménagères ou pendant un trajet en voiture, c’est ici :
Le décalogue Montessori laissé par Maria Montessori pour guider les éducateurs dans leur rôle
Pour nous guider, Maria Montessori nous a laissé 10 « commandements » que l’on appelle le décalogue de l’éducateur Montessori.
Ces 10 commandements ne sont évidemment pas à suivre comme des préceptes religieux. Ils constituent un idéal et peuvent nous servir de lignes directrices. Bien sûr, ce n’est qu’un idéal auquel nous allons tenter de parvenir, mais au moins le chemin est balisé pour nous. Nous aurons bien sûr toujours droit à l’erreur, tout comme l’enfant. Nous aussi, parents éducateurs ou éducateurs scolaires, nous apprenons par l’erreur. Quoi qu’il arrive, nous pourrons toujours nous raccrocher à ce fil conducteur qu’est le décalogue de l’éducateur Montessori pour nous aussi, progresser.
Dans cet article, je vais vous présenter la traduction officielle des 10 « commandements » laissés par Maria Montessori (diffusée par l’association Montessori France) et vous les expliciter.
1. Sauf invitation, l’éducateur Montessori ne doit pas toucher l’enfant
« Ne touchez jamais l’enfant sauf s’il vous y invite (d’une manière ou d’une autre). »

C’est un signe de respect de l’éducateur envers la personne de l’enfant. Dans une culture du consentement que l’on essaie de développer aujourd’hui, je pense que c’est plus que jamais d’actualité. Que signifie « ne jamais toucher l’enfant sauf s’il vous y invite » ? Eh bien si un enfant, surtout s’il est petit, s’approche de nous pour nous faire un câlin, bien sûr que nous allons lui faire un câlin. S’il nous regarde, et que grâce à cela, nous comprenons qu’il a besoin d’un toucher, nous pouvons le faire. Il y a en effet bien des façons de demander un contact tactile et plus les enfants sont jeunes, plus ils en ont besoin.
Tout cela se fait bien entendu dans le respect du corps de l’enfant. Tous les touchers ne sont pas égaux, certains sont plus respectueux que d’autres et on ne touche pas n’importe quelle partie du corps de l’enfant.
Cette règle est tout de même plus facilement applicable à l’école qu’à la maison. Par exemple, un nourrisson ne va pas nous inviter par un signe vraiment clair à le toucher pour lui donner son bain ! Tout cela est donc à prendre avec des pincettes, mais c’est un point extrêmement important.
Ce qui va de pair avec cela dans les apprentissages scolaires, c’est que nous n’allons pas guider l’enfant en lui prenant la main de force ni changer sa position de force. Nous pouvons en revanche lui demander : « Est-ce que je peux bouger ton bras pour te montrer une autre position ? ». Tout cela se fait dans le respect, avec le consentement de l’enfant.
2. Un éducateur ne doit jamais dire du mal d’un enfant
« Ne dites jamais de mal d’un enfant devant lui ou en son absence. »
Ne jamais dire du mal d’un enfant devant ou derrière lui
Ne pas dire du mal d’un enfant devant lui est quelque chose d’assez évident. Ça ne veut pas dire qu’on ne le fait jamais, on peut toujours craquer, mais ça semble assez clair. En revanche, nous avons souvent plus de mal à ne pas dire du mal de l’enfant en son absence. Nous pouvons avoir besoin de vider notre sac avec d’autres parents. Lorsqu’on est éducateur Montessori à l’école aussi il est souvent difficile de ne pas dire du mal de l’enfant avec d’autres enseignants ou durant les réunions parents-profs.
Même si c’est un idéal, pourquoi porter autant d’attention au fait de ne jamais déblatérer contre un enfant y compris en son absence ? Tout simplement, car la façon dont nous parlons de lui influe la manière dont nous le percevons.
Voir le positif et ne pas juger l’enfant
Commençons par changer notre langage en utilisant autant que possible des mots positifs. Cela va aider à rendre notre regard sur l’enfant plus positif lui aussi. Essayez d’être aussi factuels que possible plutôt que de juger. Rester objectif et rapporter des faits peut être une grande aide, cela évite d’être dans le jugement.
Si possible, essayez également de voir les côtés positifs de ce que vous considérez habituellement comme des défauts. Prenons l’exemple d’un enfant qui se met souvent en colère et réagit violemment devant certaines demandes ou qui crie quand on prend un objet qu’il désire lui aussi. On pourrait dire de cet enfant qu’il est violent, qu’il n’a pas appris à se comporter en société ou même qu’il est dangereux et méchant.
Mais on pourrait aussi bien dire qu’il a un sens de la limite très développé, ce qui lui sera sans doute assez utile plus tard. Un enfant qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, c’est précieux, il ne faut pas totalement étouffer ce comportement. Bien sûr qu’il va falloir le guider pour exprimer sa colère de façon constructive, mais l’origine de cette colère est saine. C’est un enfant qui est capable de poser des limites. Il se respecte et cherche à se faire respecter des autres. C’est sur ce dernier point que nous allons l’aider.

Si vous avez entendu parler de l’effet Pygmalion, vous savez sans doute que plus un éducateur Montessori, un parent, un enseignant, a un regard positif sur un enfant et plus cet enfant va répondre à ce regard positif en s’améliorant.
3. Le rôle de l’éducateur est de renforcer le positif présent chez l’enfant
« Concentrez votre effort à renforcer et à aider le développement de ce qui est positif en l’enfant. »
Ça peut paraître évident, mais vous ne trouverez nulle part dans ces 10 commandements une invitation à concentrer vos efforts pour étouffer les tendances négatives de l’enfant. Le meilleur moyen de supprimer un comportement négatif, c’est tout simplement d’en développer un positif. Il vaut mieux aider l’enfant à chercher ce qu’il fait déjà bien plutôt que de le forcer à se comporter autrement en supprimant ses comportements problématiques.
4. L’éducateur doit préparer l’environnement
« Mettez toute votre énergie dans la préparation du milieu, prenez-en soin régulièrement d’une façon méticuleuse. »
Je vous disais en introduction qu’il n’y a que 2 choses sur lesquelles nous avons du pouvoir : l’environnement, le milieu dont parle Maria Montessori, et nous-mêmes. Dans le terme « environnement Montessori », nous entendons souvent l’espace, le mobilier ou la salle de classe. Plutôt que de dépenser toute notre énergie à essayer de forcer l’enfant, de lui imposer notre volonté pour qu’il travaille par exemple, il vaut mieux se concentrer sur le milieu et le rendre attrayant pour que l’enfant y aille et fasse le travail nécessaire.
5. L’éducateur Montessori a pour rôle de guider l’enfant dans l’environnement préparé et de lui présenter le matériel
« Aidez l’enfant à établir de bonnes relations avec le milieu. Montrez-lui l’endroit où le matériel se range et indiquez-lui comment il doit s’en servir. »
Ce commandement paraîtra évident à la plupart des éducateurs Montessori ou à mes stagiaires, mais pas pour des parents qui débutent dans la pédagogie Montessori. On peut avoir tendance à se dire « Il suffit que j’achète des “jeux Montessori”, que je les mette sur des étagères, que ce soit joli, et mon enfant va travailler. ». Aïe ! Non, en vérité la présentation du matériel est un moment clé. Il faut montrer à l’enfant comment faire.

À ce propos, Maria Montessori ne dit pas « Expliquez-lui et faites de longues phrases », elle dit de montrer et indiquer à l’enfant comment se servir du matériel.
6. La rôle de l’éducateur Montessori est de se montrer disponible et d’aider l’enfant qui a besoin
« Soyez toujours prêt(e) à répondre à l’appel de l’enfant qui a besoin de vous, écoutez et répondez toujours à l’enfant qui a recours à vous. »
L’éducateur doit se mettre dans un état d’esprit de disponibilité envers l’enfant. À la maison évidemment, on n’est pas toujours disponible, mais il est important qu’il sache qu’il existe des moments où nous sommes disponibles pour lui. Notre ouverture de cœur est quelque chose de très important pour que l’enfant comprenne sa valeur et gagne en estime de lui.
Dans une classe Montessori, il est très important de pouvoir aider un enfant qui en a besoin. Nous allons toujours nous placer dans une posture d’aidant pour répondre à sa demande et qu’il se sente en sécurité. C’est fondamental pour sa sécurité intérieure et son développement psycho-affectif.
7. Laisser les enfants corriger leur travail et stopper les gestes de violence
« Respectez l’enfant qui fait une erreur et qui peut, soit sur le moment, soit plus tard, se corriger de lui-même, mais arrêtez fermement et immédiatement tout mauvais usage du matériel et toute action qui met en danger l’enfant, son développement, ou les autres enfants. »
Encourager l’autocorrection en autonomie
Un enfant a toujours le droit à l’erreur et nous allons lui montrer tout autant de respect s’il en comment que s’il n’en commet pas. Nous allons aussi lui laisser la possibilité de se corriger lui-même. L’enfant n’a de toute façon généralement pas besoin de nous pour le faire puisque le matériel Montessori est autocorrectif. C’est vrai à quelques rares exceptions près, notamment concernant les dictées muettes. Quand l’enfant ne sait pas encore lire, il ne peut effectivement pas se corriger seul dans sa lecture.
Cependant, de manière générale, laissons à l’enfant la possibilité de se corriger seul tout de suite ou plus tard s’il n’en est pas capable immédiatement. Peut-être que le lendemain ou le surlendemain, il saura se corriger en autonomie.
Stopper les gestes de violences et dire non à l’enfant
Autre point important : aucun geste de violence n’est toléré dans une ambiance Montessori, jamais. L’éducateur ou le parent doit arrêter l’enfant immédiatement et fermement. C’est souvent un point oublié quand on pense que la pédagogie Montessori c’est le règne de l’enfant roi ou que tout y est permis. Non. Tout n’est pas permis, certainement pas !

Je vous parlais il y a peu de la question du non. Faut-il dire non ou stop à son enfant ? Bien sûr que nous allons dire non à l’enfant ! Bien sûr que nous allons, si besoin, le restreindre physiquement et faire barrage de notre corps pour l’empêcher de frapper un autre enfant. De la même manière, il est évident que nous allons l’empêcher de jeter le matériel à travers la pièce pour ne pas l’abîmer.
Si l’enfant abîme le matériel parce qu’il est en train de le manipuler et qu’il commet une erreur, c’est une chose. Si en se déplaçant dans la salle de classe avec des pichets fragiles en porcelaine et que par maladresse, il y en a un qui tombe et casse, nous allons simplement lui demander de ramasser les morceaux avec une pelle et une balayette. Il participe ainsi au rangement et à la réparation de son erreur. Et c’est tout.
En revanche, un enfant qui prendrait un pichet et le lancerait sur un camarade ou au sol, ce n’est pas tolérable. Il va falloir en parler avec lui, se demander que faire quand un enfant réagit comme cela et mettre en place des mesures.
8. Respecter le repos et aider ceux qui en ont besoin à trouver une activité dans l’ambiance Montessori
« Respectez l’enfant qui se repose ou observe les autres travailler, ou réfléchit à ce qu’il a fait ou fera. Ne l’appelez pas et ne le contraignez pas à une autre forme d’activité. Aidez ceux qui cherchent une activité et n’en trouvent pas. »
C’est souvent une source de stress pour les parents lorsqu’ils ont l’impression que leur enfant ne travaille pas dans un environnement Montessori. Or, un enfant ne fait jamais « rien ». Peut-être qu’il a besoin de se reposer, d’observer les autres, de prendre du temps pour savoir ce qu’il va faire ensuite. Ce sont les cas dont parle Maria Montessori. Si nous l’appelons et que nous le forçons à faire autre chose, nous risquons de l’empêcher de réussir à percevoir le travail dont il a besoin. Il faut donc laisser le temps, même si nous avons l’impression que l’enfant ne fait rien.
En revanche, si un enfant cherche une activité mais qu’il ne sait pas quoi faire, qu’il erre dans l’espace de travail en regardant et en piétinant, là nous allons l’aider. Comment l’aider ? Nous lui proposons 2 ou 3 activités, mais peut-être qu’il choisira finalement une autre possibilité dont nous ne lui avons pas parlé. Cela arrive souvent même avec les adultes. Il arrive qu’en en parlant et en demandant de l’aide, il nous vienne tout à coup une 3e idée. De façon identique, nous allons absolument aider les enfants qui cherchent une activité et n’en trouvent pas.
Avec un enfant qui se repose, nous le laisserons se reposer. L’ennui est une bonne chose pour les plus jeunes. J’avais fait un podcast pour savoir s’il faut occuper son enfant toute la journée et la réponse courte, c’est non ! Pour comprendre le détail, je vous invite à l’écouter pour avoir d’autres éclairages sur cette question.
9. L’éducateur Montessori doit respecter la concentration des enfants occupés et guider les autres vers le travail
« Présentez inlassablement des activités à l’enfant qui les a refusées auparavant ; aidez-le sans cesse à acquérir ce qu’il n’a pas encore acquis et à surmonter ses imperfections, faites tout ceci en animant le milieu avec soin ; en ayant volontairement une attitude réservée, en usant de mots aimables ; et en étant une présence aimante. Faites que votre présence et votre disponibilité soient ressenties par l’enfant qui cherche, et demeurent cachées à celui qui a déjà trouvé. »
Proposer à nouveau des ateliers Montessori refusés par l’élève
Si un enfant ne travaille pas, mais qu’il ne se repose pas non plus, nous allons sans arrêt lui proposer des choses. S’il a refusé plusieurs fois de travailler avec un matériel, eh bien nous allons le lui proposer à nouveau une semaine, un mois ou 6 mois plus tard. L’enfant change et se développe. Il n’aura pas besoin de travailler les mêmes compétences entre 3 ans et 3 ans et demi par exemple. Peut-être même qu’il n’utilisera pas les mêmes ateliers qu’un camarade d’âge similaire. Chaque enfant évolue différemment et nous allons donc proposer sans cesse des activités qu’il a refusées auparavant.

La façon de faire acquérir à l’enfant ce qui ne l’est pas encore, c’est d’animer avec soin le milieu. On se concentre sur l’environnement préparé. C’est par ce milieu qu’on va attirer l’enfant vers le travail.
Par ailleurs, Maria Montessori nous conseille d’employer des « mots aimables ». Il ne s’agit pas de forcer l’enfant, de lui dire méchamment qu’il est fainéant ou nul et qu’il faut qu’il fasse tel atelier. Il faut naturellement bannir tout cela de notre vocabulaire, tout en étant une « présence aimante ». Effectivement, l’enfant ne sera jamais aussi attiré par le travail que si cela lui est proposé par une personne qu’il aime, et que cette personne l’aime en retour. Il a besoin d’être dans une relation d’amour réciproque.
Laisser les élèves occupés à travailler et rester concentrés
S’il n’y a qu’un seul passage à retenir dans tout ce décalogue, pour des parents qui ont du mal avec cela, c’est cette phrase : « Faites que votre présence et votre disponibilité soient ressenties par l’enfant qui cherche, et demeurent cachées à celui qui a déjà trouvé. ».
L’enfant qui est en train de travailler et est concentré n’a pas besoin de votre regard d’adulte pesant sur lui. N’allez pas lui demander s’il veut de l’aide. C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles les enfants n’arrivent pas à se concentrer aujourd’hui : on intervient toujours quand ils font quelque chose pendant longtemps ! On finit toujours par aller les voir et leur demander de faire autre chose. À un enfant qui lit pendant des heures, on va lui dire de sortir prendre l’air et inversement pour celui qui est toujours dans la nature, on lui conseillera de lire un petit peu. C’est malheureusement comme cela que l’on nuit à la concentration des enfants.
10. Le principe le plus exigeant du décalogue Montessori : offrir le meilleur de soi à l’enfant
« Traitez toujours l’enfant avec la plus grande politesse et offrez-lui le meilleur de ce dont vous disposez. »
Ce dernier commandement est une ouverture : nous devons offrir le meilleur de ce que nous avons à l’enfant. C’est très exigeant.
S’améliorer dans notre rôle d’éducateur et de parent pour essayer de respecter le décalogue Montessori
Encore une fois je le répète, mais ce décalogue, ces 10 commandements ne sont qu’une ligne directrice pour la posture de l’éducateur Montessori. Oui ce sera difficile ! Mais si vous avez des difficultés avec votre enfant, vous pouvez le parcourir à nouveau en vous demandant si par hasard, vous ne pourriez pas travailler un de ces points pour que ça se passe mieux. Vous allez sûrement y trouver des pistes d’amélioration et de travail. Je voudrais à présent finir sur cette citation de Maria Montessori qui provient du livre L’éducation et la paix :
L’enfant se développant harmonieusement et l’adulte s’améliorant à ses côtés, ne trouvons-nous pas là une image très émouvante et tout à fait motivante ?
J’espère que vous serez vous aussi, comme je le suis et comme toute notre communauté des Montessouricettes l’est, un adulte qui s’améliore aux côtés de l’enfant. Nous n’avons pas fini de grandir, de nous améliorer et de progresser. J’espère donc que ce décalogue et ces 10 commandements vous aideront à le faire un peu mieux. Vous pouvez retrouver la version imprimable de ce décalogue de Maria Montessori sur le Terrier des Montessouricettes.
Si vous avez besoin de plus de soutien pour vous améliorer aux côtés de votre enfant justement, que ce soit dans votre parentalité ou pour le soutenir au niveau scolaire, n’hésitez pas à rejoindre notre accompagnement à la parentalité et à l’IEF Montessori. C’est bien sûr ouvert à toutes les personnes qui font aussi du coschooling, aux accompagnants dans les devoirs à la maison et qui veulent suivre de plus près les apprentissages académiques de leurs enfants. Même si vous ne voulez que progresser dans votre parentalité, n’hésitez surtout pas à nous rejoindre dans l’accompagnement.

Merci Anne lore t’es resso sont précieuses !!
Bonjour, est-il possible de vous joindre en privé ? Ou bien de ne pas publier mon futur commentaire ? Merci, à bientôt ! Isabelle
Bonjour Isabelle. Vous pouvez me joindre à l’adresse suivante : contact@montessouricettes.fr. Bonne journée
Merci beaucoup c’est très intéressants